Tuesday, March 23, 2010

Y a-t-il une féministe dans la salle ?

Hier il lisait dans blog toujours recommandable de Jessica Fillol (“ne regarde pas aux yeux des gens”) une entrée sur “vision de genre“. La thèse consistait en ce que les tables en verre des entreprises, ces énormes tables qui s'emploient d'habitude pour les réunions, des hommes les choisissent toujours, parce qu'elles sont comme celles qui les nettoient toujours des femmes ils n'évaluent pas la grande différence de travail qui porte laisser reluisante une table en bois ou l'un de ces monstres cristallins du démon.

C'est pourquoi il réclame aussi une vision de genre dans l'achat de mobilier : facile de nettoyer = le féminisme, pour le réduire à un slogan.

J'ai répliqué qui n'a pas raison, que si ces tables ont besoin de plus de temps pour être nettoyé les personnes qui les nettoient peut-être devaient les regarder avec la sympathie de quelque chose qui assure son travail.

Je vais compter une anecdote : Maintenant non, mais il y a longtemps il donnait une assistance à des utilisateurs. Mes utilisateurs étaient les uns cruelles dans le sien mais la computérisation de travail d'office leur était établie. Mes 40 heures étaient de cette type :

- (ring, ring) bon jour, ceronegativo, à l'appareil.
- Bon jour, je suis Fulanito. ceronegativo: C'est un enfer! Je ne sens pas les jambes! Ils sont partout!
- Fulanito, ne te préoccupe pas ni touche rien que tout de suite je monte à ton bureau. Un pardessus ne touche rien, je monte déjà. Il se rappelle, ne touche rien.

- Toc, toc. Ça va ? Qu'est-ce qui lui passe à l'ustensile ce ?
- Puisque que lui ne fonctionne pas le correcteur orthographique, il est cassé, autant que je lui donne … : Une sécurité que j'ai un virus de ceux-ci ou quelque chose! N'aurai-je pas perdu le travail tout à fait le jour, une vérité ? Je te jure que je n'ai rien touché! Si c'est que l'informatique n'est pas pour moi! S'il pouvait il reviendrait aux éclisses en argile avec une écriture cunéiforme, celles-ci ne tombaient en panne jamais …
- Voilà il est ici, un menu outils, une orthographe et une grammaire, ou avec la touche une fonction sept.
- ahhhh, il vaut vaut, c'est certain. Quelle tête! Il pardonne qu'il te gêne toujours, c'est que je suis très maladroit.
- Ne te préoccupe pas, pour cela nous sommes, toi ce dont tu as besoin ne doutes pas de m'appeler.

Et là il achevait le sujet, si l'utilisateur était à ceux que plus de confiance avait, que la conversation finissait avec un clin d'oeil d'oeil et de la coda suivante :

- Ni il t'arrive de te l'apprendre, Fulanito, tu sais déjà que ton ignorance est mon pain.

Ils le s'attendaient et riaient, mais les premières fois j'ai eu à leur expliquer que s'ils savaient trouver le correcteur orthographique, ou configurer l'imprimante à un double visage, moi un poste n'aurait pas raison d'être. Je sai bien que si mon travail était seulement fait ou quelqu'un le rendait gratuit l'entreprise ne m'aurait pas commercé ou je prendrais congé au moment.

Maintenant, il est possible que ma vision de genre ne soit pas suffisamment juste, enfin et au cavo je suis un homme élevé dans une société patriarcale, et c'est pourquoi je demande : Voyez-vous essentiellement les tables en verre différentes des doutes ofimáticas d'un utilisateur ? Pèche-je par machisme ou Jessica “d'hembrismo“ ?

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