Saturday, March 13, 2010

Orlando Otegui vs. Arnaldo Zapata

À voir :

Le choeur de voix irascibles qui à une droite et à une main gauche mènent depuis la mort d'Orlando Zapata (ou avant) en pestant contre la Cuba.

Ceux qui criaient contre que par implication et(ou) connivence avec le terrorisme il y a des peines de prison dans la législation cubaine.

Ceux qui ont parlé du "régime" cubain, de la “dictature castrista”, et cetera, et cetera, et cetera.

Ceux qui sont existés solidarizado par active et par passive avec les "dissidents".

Ceux qui ont inondé des nouvelles, des éditoriaux, des colonnes, des lettres, des manifestes, blogs, des chroniques, des déclarations, des communiqués, des motions ou des petites soirées avec les lambeaux de ses déchirés vêtements, toujours blancs et purs.

Ceux qui disaient qu'ils n'existent pas absolutoires, des cas spéciaux ni atténuants. Ceux qu'il ne voulait pas entendre parler du Guantanamo, de la Palestine, de la Colombie, du Maroc, le blocage ou des coureurs de la mort (encore moins de fossés ou de franquisme).

Ceux qui méprisent et insultent à ceux qu'ils ont (et : ils osent prononcer!) des nuances, des doutes ou des opinions différentes de celles du troupeau.

Ceux qu'ils signalaient avec le doigt et exigeaient des condamnations unanimes, instantanées et sans nuances; ceux qui pressaient à des putschs immédiats.

Et certain plus que moi a laissé, compréhensif qui étaient plusieurs.

Que je dis qui tous ceux-ci de là-haut lèveront déjà la voix et solidarizándose par active et par passive avec Arnaldo Otegui que je ne crois pas qu'ils ignorent viennent de condamner à 2 ans de la prison et 16 de déclaration d'incapacité (je, cela a une grâce) pour dire que “[fulanito] est un détenu politique” (permets-moi qu'il mette “fulanito” au lieu du nom, c'est moi qui n'ai pas le jour pour “m'immoler” ou pour être “martyr“).

Et voilà qu'ils auront aussi le manifeste comme déjà signé, prêt de publier, dans une défense de The Juana Kaos à quand ils l'extraderont par l'accusation d'écrire “il arrive avec la balle” (mais chez un Basque).

Oui, je crois que m'arrivent déjà les échos, je l'entends un espace : “un régime espagnol”, “dictature des frères Zapatero”, “une transition urgente démocratique”, “libération de dissidents”, “des prisonniers de conscience”, “d'un exil espagnol”, “nécessité d'élections libres”, “d'une condamnation internationale”, “une liberté de la presse“, “avancer dans le respect des droits de l'homme”, “répression de l'opposition démocratique”: “l'Espagne vive libre!” …

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