Thursday, March 18, 2010

Le Guantanamo : ”sol des États-Unis” ?

Hier, dans le programme “dans des jours comme aujourd'hui” de Radio5 de RNE le speaker Juan Ramón Lucas, comme à la 07:10, après avoir traité la mort d'un prisonnier dans une prison cubaine (la deuxième nouvelle de couverture! Chaque mort produite en prison Colombienne ou Américaine ouvre-t-elle le de renseignements de RNE, ou cet honneur est-il seulement réservé en Cuba ?) il a passé au sujet de l'envoi (pas en qualité de que) de 5 prisonniers du Guantanamo à l'Espagne.

Le cas consiste en ce que la phrase plus ou moins littérale dans le passage d'une nouvelle a été jusqu'à l'autre “nous n'abandonnons pas l'île de la Cuba, mais cette fois depuis un sol américain parce que depuis la base du Guantanamo ils sont sortis l'avion (…)”

Le Guantanamo : ”sol des États-Unis” ? Mandeeé ?

Récapitulons : La Base Navale de la Baie du Guantanamo occupe environ 120 kms ² la Municipalité de Caimanera, dans la Province du Guantanamo, dans la république de la Cuba. C'est l'une des bases américaines les plus importantes en dehors de ses frontières. La première occupation Yankie du territoire date de 1895, dans une pleine guerre un espagnol - Américain, bien que ce fût sanctionné comme “une location perpétuelle” au gouvernement des États-Unis le 23 février 1903. Aujourd'hui elle est tristement fameuse pour être champ d'internement et de tortures extrajudiciaires de (ni si même présumés) des ennemis des EU.

Après la guerre entre l'Espagne et les EU (1898-1902) Cuba, avec le Puerto Rico, les Philippines et Guaján (Guam) se sont mis à être colonies yankees, dans le cas cubain jusqu'à l'indépendance en 1950.

En 1903 les EU ont accordé une constitution à la Cuba (une espèce “d'une lettre octroyée”) où, sous menace, de continuer l'occupation, s'est introduite la connaissance comme “amendement Platt” qui établissait l'obligation de céder un territoire pour des installations militaires aux États-Unis. Dans le cas du Guantanamo une location s'est établie “jusqu'à ce qu'ils eussent besoin de cela”, bien que se reconnût la souveraineté Cubaine de la base.

Le gouvernement cubain se refuse à toucher la location dès 1961 après ne pas avoir reconnu l'occupation et a dénoncé dans une multitude d'occasions le traité dans une vertu à l'article 52 de la Convention de Vienne de 1969 qui déclare l'abolition d'un traité si on finit que s'est utilisée la force ou l'intervention.

Le total que don Juan Ramón Lucas a démontré un être “plus Papiste que le Papa” comme il a l'habitude d'être dit et a donné une lettre de nature à l'État Unis pas seulement à (la moins douteuse) une légitimité pour occuper le territoire en vertu d'encore un accord forcé d'un siècle avec un gouvernement une marionnette mais encore plus, la souveraineté du territoire précité comme partie des EU, quelque chose que ni les antiCubains les plus belligérants des EU osent à de dire.

Je suppose que la consigne d'aujourd'hui fût “une barre est en congé” contre la Cuba : dans le de renseignements au moins une fois il a dit “un gouvernement cubain” et tout de suite il a rectifié par “un régime cubain”.

Là tu l'as, par la “radio publique”, comme ne se fatigue pas Juan Ramón Lucas de redoubler. Comme s'il y avait beaucoup de différence.

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