Thursday, March 25, 2010

Privatiser ou ne pas privatiser

Un génial vidéo sur l'AGCS, si tu ne sais pas qu'ils signifient ces initiales, tu l'auras très un reflet du soleil après le vidéo

J'habille dans pluralia.tv

Certes, les coïncidences m'ont enchanté avec le vidéo de Sleep Now in the Fire de Rage Against The Machine dirigé par Michael Moore, je crois que même il y a une question en commun ;-)


Tuesday, March 23, 2010

Y a-t-il une féministe dans la salle ?

Hier il lisait dans blog toujours recommandable de Jessica Fillol (“ne regarde pas aux yeux des gens”) une entrée sur “vision de genre“. La thèse consistait en ce que les tables en verre des entreprises, ces énormes tables qui s'emploient d'habitude pour les réunions, des hommes les choisissent toujours, parce qu'elles sont comme celles qui les nettoient toujours des femmes ils n'évaluent pas la grande différence de travail qui porte laisser reluisante une table en bois ou l'un de ces monstres cristallins du démon.

C'est pourquoi il réclame aussi une vision de genre dans l'achat de mobilier : facile de nettoyer = le féminisme, pour le réduire à un slogan.

J'ai répliqué qui n'a pas raison, que si ces tables ont besoin de plus de temps pour être nettoyé les personnes qui les nettoient peut-être devaient les regarder avec la sympathie de quelque chose qui assure son travail.

Je vais compter une anecdote : Maintenant non, mais il y a longtemps il donnait une assistance à des utilisateurs. Mes utilisateurs étaient les uns cruelles dans le sien mais la computérisation de travail d'office leur était établie. Mes 40 heures étaient de cette type :

- (ring, ring) bon jour, ceronegativo, à l'appareil.
- Bon jour, je suis Fulanito. ceronegativo: C'est un enfer! Je ne sens pas les jambes! Ils sont partout!
- Fulanito, ne te préoccupe pas ni touche rien que tout de suite je monte à ton bureau. Un pardessus ne touche rien, je monte déjà. Il se rappelle, ne touche rien.

- Toc, toc. Ça va ? Qu'est-ce qui lui passe à l'ustensile ce ?
- Puisque que lui ne fonctionne pas le correcteur orthographique, il est cassé, autant que je lui donne … : Une sécurité que j'ai un virus de ceux-ci ou quelque chose! N'aurai-je pas perdu le travail tout à fait le jour, une vérité ? Je te jure que je n'ai rien touché! Si c'est que l'informatique n'est pas pour moi! S'il pouvait il reviendrait aux éclisses en argile avec une écriture cunéiforme, celles-ci ne tombaient en panne jamais …
- Voilà il est ici, un menu outils, une orthographe et une grammaire, ou avec la touche une fonction sept.
- ahhhh, il vaut vaut, c'est certain. Quelle tête! Il pardonne qu'il te gêne toujours, c'est que je suis très maladroit.
- Ne te préoccupe pas, pour cela nous sommes, toi ce dont tu as besoin ne doutes pas de m'appeler.

Et là il achevait le sujet, si l'utilisateur était à ceux que plus de confiance avait, que la conversation finissait avec un clin d'oeil d'oeil et de la coda suivante :

- Ni il t'arrive de te l'apprendre, Fulanito, tu sais déjà que ton ignorance est mon pain.

Ils le s'attendaient et riaient, mais les premières fois j'ai eu à leur expliquer que s'ils savaient trouver le correcteur orthographique, ou configurer l'imprimante à un double visage, moi un poste n'aurait pas raison d'être. Je sai bien que si mon travail était seulement fait ou quelqu'un le rendait gratuit l'entreprise ne m'aurait pas commercé ou je prendrais congé au moment.

Maintenant, il est possible que ma vision de genre ne soit pas suffisamment juste, enfin et au cavo je suis un homme élevé dans une société patriarcale, et c'est pourquoi je demande : Voyez-vous essentiellement les tables en verre différentes des doutes ofimáticas d'un utilisateur ? Pèche-je par machisme ou Jessica “d'hembrismo“ ?

Saturday, March 20, 2010

La Semaine Rouge de Hugo

Comment il passe le temps! Un autre semanita qui part, et de ja d'un souvenir sa Seine Rouge, dans cette occasion élaborée par l'Hugo Martínez Abarca insigne, passez et lisez

Depuis le Bois dans De grand lit, la semaine rouge tourne Chamberí, d'où il n'a jamais dû sortir, puisque tout le monde sait que c'est le centre névralgique de la gauche mondiale.

Pour échantillon un bouton : Fausto Fernández a demandé à Ignacio González (le vice-président de la Communauté de Madrid qui selon les espions de Grenadiers se promène dans la Colombie avec bourses de contenu inconnu) par le terrain de golf de Chamberí, avec lequel il a fait du bien aux associés de son frère et de son beau-frère et lequel la justice a déclaré illégal. “Cela tu ne me le dis pas dans la rue”, a répondu le dirigeant du parti des hijoputas et des peignes universitaires. Le Faste est sorti à la rue, il a pris un ordinateur, et on l'a dit dans la rue.

Le 16 février 1936 le Front Populaire a vaincu dans les dernières élections démocratiques dans beaucoup d'années : la droite lui a dit à la citoyenneté que cela on ne le disait pas dans la rue. Dans l'Acier Blochevique nous avons lu un souvenir de cette victoire de la gauche et, donc, de la démocratie. Tandis que, Rafa nous comptait depuis Kabila quelques journées intenses sur une mémoire historique.

La semaine politique a tourné sur nouveau un mantra à la mode : un pacte de l'État qui nous permet de renoncer à certains droits acquis et à n'importe lequel que nous cherchons à conquérir. Inés situait le débat en face des mots creux. Dans le Congrès des Députés il était discuté, probablement, sur la crise. Dans les moyens on ne pouvait pas trouver le discours de Gaspar Llamazares, délégué de la troisième force politique : il fallait le chercher dans le blog d'Àngels. Parfois les députés gagnent le salaire, par beaucoup de démagogie qui existe à ce sujet : viul il réfléchissait aux rémunérations et aux privilèges de nos hommes politiques.

Sans nécessité de pactes, presque tous les partis se mettent d'accord dans quelques choses : tandis qu'en Hollande cassent les gouvernements pour sortir de l'Afghanistan, en Espagne la Commission de Défense a autorisé l'envoi de plus de troupes à la guerre avec le vote pour du parti socialiste espagnol, de PP, de CiU, PNV et UPyD tandis qu'IU maintenait le drapeau de Non à la guerre. Ceronegativo nous le comptait en se demandant par la pince fameuse. Tandis que, dans Diseccionando Pays nous voyions les manipulations qui existent sur cette guerre d'occupation : nous pouvons voir sur des photos des soldats d'infanterie navale un Américain en défendant un père et sa fille des mauvais talibés … Le mauvais consiste en ce que le même père et la même petite fille sont défendus par des soldats d'infanterie navale distincts et dans des poses distinctes à des éditions distinctes des quotidiens ce qu'il fera qu'un méfiant soupçonne que la photo n'est que théâtre pour nous convaincre des bontés de la guerre.

Pour la pince qu'il faut mettre dans le nez après avoir vu comment la mairie dans laquelle je vote plus le parti socialiste espagnol il l'y a de l'Espagne, de parla (Madrid), un sol public se régale pour une école ordonnée. Dans les Mouches dans la Soupe on signale par réussite que ce qu'il nous devrait différencier à la gauche est la défense du public.

Dans la RASD une course cycliste solidaire avait lieu avec le peuple saharien de celle qui se doit un compte dans Gotes d’aigua. À l'Euskadi c'était Mikel Arana qui réfléchissait à la possibilité d'obtenir la paix à la suite de la déclaration récente de la Nationaliste basque Gauche. Et Luis Ángel Aguilar nous comptait l'initiative curieuse des Pazyasos. Et tandis que tant de gens font des choses pour obtenir un monde plus juste et pacifique, les autres suivent engagés dans la censure, la menace et l'inquisition : dans L'Espeto Victorien on dénonçait la victoire de l'intégrisme chrétien qui a réussi à fermer une exposition parce qu'il ne plaisait pas aux nouveaux torquemadas que d'autres personnes pussent librement la voir.

Enfin, je veux signaler un texte qui m'a beaucoup plu : nous sommes un pays dans lequel il y a très peu de militantisme politique et dans lequel la culture peu abondante démocratique stigmatise le militantisme politique. C'est pourquoi il fait une illusion voir comment l'utilité du militantisme est reconnue quand nous profitons d'elle pour donner une voix aux collectifs qui n'auraient pas de voix sans IU. Manolo Lay compte son cas, qui est représentatif de certains des gratifications que le militantisme permet dans la Gauche Unie.

La semaine prochaine La Semaine Rouge sera élaborée par Lidia. Comment ça va très loin de Chamberí, il est possible qu'il ne lui sorte pas mal. Ayons confiance en cela.

Friday, March 19, 2010

La refondation de la gauche habille du dehors (d'IU) (II)

Il y a une faim de refondation dans la gauche. Je crois que c'est un fait de plus en plus clair. Pour s'ajouter un enthousiaste, pour le contempler depuis la méfiance ou pour prédire son échec inévitable il y a peu d'acteurs de la gauche qui ne se sont pas prononcés sur le processus de refondation.

J'espère que ce fait ne passe pas inaperçu entre ceux qui peuvent pousser ou freiner ce train, parce que chaque jour qui passe, chaque centimètre qui est gagné et chaque pincée de vitesse qui est obtenue nous serons plus près de la station suivante, mais le déraillement serait plus désastreux.

Désastreux pour tous.

Nous trouvons un autre apport dans le blog la Lance, d'un militant de Gauche Indépendante de Sanse : Des impulsions, des forums, des mouvements, des espaces, des partis, des initiatives de gauches.

Une lance nous donne sa vision particulière, de son militantisme local et dès son assistance à trois divers actes mais avec beaucoup de points d'union : L'acte de commencement de la refondation à la fin d'un décembre; l'organisé par l'association Impulsion Participativo de Alcobendas et Sanse et enfin le Forum par la Participation sociale en forme d'un dîner - hommage à Inés Sabanés.

Une lance a plus de questions que des réponses, comme tous ce qu'ils sont dans cela d'une forme sincère, mais si tu ne poses pas les questions adéquates tu ne pourras jamais trouver les réponses correctes. Bien qu'il ait pour l'une qui est faite peut-être une réponse : Qu'est-ce que II peut faire ? puisque comme la force très importante de la gauche alternative de Sanse, si la montagne ne va pas à Mahoma …

Watch Melrose Place (2009) S01E14 Stoner Canyon now

Une gauche, une gauche alternative et gauche radicale

Une connaissance qui les étudiait m'a expliqué une fois un décalogue de principes du marketing, quelque chose de pareil retentissante comme “les 12 commandements du Marketing”. Je de ces choses ne comprends rien, mais ils m'ont semblé très intéressants. Vaux, beaucoup du bon sens (il y avait l'un qui disait que sans pâte il est impossible d'avoir une bonne campagne de marqueting, Oh my gOOD!) mais les autres m'ont fait penser.

Le cas consiste en ce que, en lisant l'entrée du (ex-) collègue Reven sur le Meeting international de Gauche Anticapitaliste à l'occasion du countersommet un Hispano-marocain et l'usage du terme “la gauche radicale” pour auto définir à la Gauche Anticapitaliste je me suis souvenu des lois celles-là.

L'une était la “Loi de la catégorie“. Il venait à dire que si tu ne peux pas être le leader dans une catégorie déterminée, tu peux toujours créer une nouvelle dans laquelle si que tu l'es. L'exemple était le rafraîchissement “7 Up”, qui a créé une propre catégorie dans laquelle être le premier au lieu d'être 15 chez le général de rafraîchissements.

L'analogie est très claire : Une gauche Anticapitaliste ne peut pas être la première dans le segment “d'une Gauche Alternative” avec ses 25.000 votes, dès qu'il crée la nouvelle catégorie “d'une Gauche Radicale” où si cela aspire à être la première. Pas si c'est une stratégie préméditée ou vient donnée par la logique pure de vouloir la différence son "produit" (remarquez-lui ces guillemets et toutes les suivantes) du nôtre.

Avant que personne ne me le dise : c'est certain, IU a aussi créé la catégorie “la Gauche Alternative”, dans laquelle être la première en face de la catégorie "Gauche" où il domine (chez les chefs des "consommateurs") le parti socialiste espagnol. Il vaut, mais aussi il est certain qu'IU rivalise, et avec un certain succès, en section "Gauche".

Il y avait une autre loi de celles-ci qui disait à la fin chaque segment de marché il devient “chose de deux”; une bataille entre le premier et le deuxième où ils sont arrangés le reste. Si c'était UN certain IA il aurait fait le correct (ou l'unique) et on aurait créé un autre segment dans lequel régner. Tout cela en parlant dans des termes de marqueting, d'espace.

Mais un espace, l'une des dernières lois était celle de la division. Il supposait que tôt ou tard une catégorie sera divisée pour devenir deux. Un mensonge, au PP la catégorie "droite" ne la dispute pas personne : ou consiste-t-il en ce qu'il y a une catégorie “un centre - droite“ où PP et parti socialiste espagnol se donnent des coups de corne ?

Certes, l'acte qu'il annonce Ils Revoient, et contre le sommet où il est encadré, ils ont une bonne mine. Si tu es par Grenade passe et tout de suite tu me comptes comme se distingue la “gauche alternative” de la “gauche radicale”, pour voir si la division se justifie, au-delà du marketing.

P.D. : Putada pour l'image de marque, trop de gens utilisent les initiales IA pour la Nationaliste basque Gauche au lieu de pour la Gauche Anticapitaliste, vous renommez déjà l'Espace Trotskista : ET n'est pas attrapé.

Thursday, March 18, 2010

Le Guantanamo : ”sol des États-Unis” ?

Hier, dans le programme “dans des jours comme aujourd'hui” de Radio5 de RNE le speaker Juan Ramón Lucas, comme à la 07:10, après avoir traité la mort d'un prisonnier dans une prison cubaine (la deuxième nouvelle de couverture! Chaque mort produite en prison Colombienne ou Américaine ouvre-t-elle le de renseignements de RNE, ou cet honneur est-il seulement réservé en Cuba ?) il a passé au sujet de l'envoi (pas en qualité de que) de 5 prisonniers du Guantanamo à l'Espagne.

Le cas consiste en ce que la phrase plus ou moins littérale dans le passage d'une nouvelle a été jusqu'à l'autre “nous n'abandonnons pas l'île de la Cuba, mais cette fois depuis un sol américain parce que depuis la base du Guantanamo ils sont sortis l'avion (…)”

Le Guantanamo : ”sol des États-Unis” ? Mandeeé ?

Récapitulons : La Base Navale de la Baie du Guantanamo occupe environ 120 kms ² la Municipalité de Caimanera, dans la Province du Guantanamo, dans la république de la Cuba. C'est l'une des bases américaines les plus importantes en dehors de ses frontières. La première occupation Yankie du territoire date de 1895, dans une pleine guerre un espagnol - Américain, bien que ce fût sanctionné comme “une location perpétuelle” au gouvernement des États-Unis le 23 février 1903. Aujourd'hui elle est tristement fameuse pour être champ d'internement et de tortures extrajudiciaires de (ni si même présumés) des ennemis des EU.

Après la guerre entre l'Espagne et les EU (1898-1902) Cuba, avec le Puerto Rico, les Philippines et Guaján (Guam) se sont mis à être colonies yankees, dans le cas cubain jusqu'à l'indépendance en 1950.

En 1903 les EU ont accordé une constitution à la Cuba (une espèce “d'une lettre octroyée”) où, sous menace, de continuer l'occupation, s'est introduite la connaissance comme “amendement Platt” qui établissait l'obligation de céder un territoire pour des installations militaires aux États-Unis. Dans le cas du Guantanamo une location s'est établie “jusqu'à ce qu'ils eussent besoin de cela”, bien que se reconnût la souveraineté Cubaine de la base.

Le gouvernement cubain se refuse à toucher la location dès 1961 après ne pas avoir reconnu l'occupation et a dénoncé dans une multitude d'occasions le traité dans une vertu à l'article 52 de la Convention de Vienne de 1969 qui déclare l'abolition d'un traité si on finit que s'est utilisée la force ou l'intervention.

Le total que don Juan Ramón Lucas a démontré un être “plus Papiste que le Papa” comme il a l'habitude d'être dit et a donné une lettre de nature à l'État Unis pas seulement à (la moins douteuse) une légitimité pour occuper le territoire en vertu d'encore un accord forcé d'un siècle avec un gouvernement une marionnette mais encore plus, la souveraineté du territoire précité comme partie des EU, quelque chose que ni les antiCubains les plus belligérants des EU osent à de dire.

Je suppose que la consigne d'aujourd'hui fût “une barre est en congé” contre la Cuba : dans le de renseignements au moins une fois il a dit “un gouvernement cubain” et tout de suite il a rectifié par “un régime cubain”.

Là tu l'as, par la “radio publique”, comme ne se fatigue pas Juan Ramón Lucas de redoubler. Comme s'il y avait beaucoup de différence.

Une grève Générale (en Grèce)

Il dit un proverbe savant que quand tu verras les barbes de ton voisin peler …

J'habille dans : pcasevillatv