Thursday, March 25, 2010

Privatiser ou ne pas privatiser

Un génial vidéo sur l'AGCS, si tu ne sais pas qu'ils signifient ces initiales, tu l'auras très un reflet du soleil après le vidéo

J'habille dans pluralia.tv

Certes, les coïncidences m'ont enchanté avec le vidéo de Sleep Now in the Fire de Rage Against The Machine dirigé par Michael Moore, je crois que même il y a une question en commun ;-)


Tuesday, March 23, 2010

Y a-t-il une féministe dans la salle ?

Hier il lisait dans blog toujours recommandable de Jessica Fillol (“ne regarde pas aux yeux des gens”) une entrée sur “vision de genre“. La thèse consistait en ce que les tables en verre des entreprises, ces énormes tables qui s'emploient d'habitude pour les réunions, des hommes les choisissent toujours, parce qu'elles sont comme celles qui les nettoient toujours des femmes ils n'évaluent pas la grande différence de travail qui porte laisser reluisante une table en bois ou l'un de ces monstres cristallins du démon.

C'est pourquoi il réclame aussi une vision de genre dans l'achat de mobilier : facile de nettoyer = le féminisme, pour le réduire à un slogan.

J'ai répliqué qui n'a pas raison, que si ces tables ont besoin de plus de temps pour être nettoyé les personnes qui les nettoient peut-être devaient les regarder avec la sympathie de quelque chose qui assure son travail.

Je vais compter une anecdote : Maintenant non, mais il y a longtemps il donnait une assistance à des utilisateurs. Mes utilisateurs étaient les uns cruelles dans le sien mais la computérisation de travail d'office leur était établie. Mes 40 heures étaient de cette type :

- (ring, ring) bon jour, ceronegativo, à l'appareil.
- Bon jour, je suis Fulanito. ceronegativo: C'est un enfer! Je ne sens pas les jambes! Ils sont partout!
- Fulanito, ne te préoccupe pas ni touche rien que tout de suite je monte à ton bureau. Un pardessus ne touche rien, je monte déjà. Il se rappelle, ne touche rien.

- Toc, toc. Ça va ? Qu'est-ce qui lui passe à l'ustensile ce ?
- Puisque que lui ne fonctionne pas le correcteur orthographique, il est cassé, autant que je lui donne … : Une sécurité que j'ai un virus de ceux-ci ou quelque chose! N'aurai-je pas perdu le travail tout à fait le jour, une vérité ? Je te jure que je n'ai rien touché! Si c'est que l'informatique n'est pas pour moi! S'il pouvait il reviendrait aux éclisses en argile avec une écriture cunéiforme, celles-ci ne tombaient en panne jamais …
- Voilà il est ici, un menu outils, une orthographe et une grammaire, ou avec la touche une fonction sept.
- ahhhh, il vaut vaut, c'est certain. Quelle tête! Il pardonne qu'il te gêne toujours, c'est que je suis très maladroit.
- Ne te préoccupe pas, pour cela nous sommes, toi ce dont tu as besoin ne doutes pas de m'appeler.

Et là il achevait le sujet, si l'utilisateur était à ceux que plus de confiance avait, que la conversation finissait avec un clin d'oeil d'oeil et de la coda suivante :

- Ni il t'arrive de te l'apprendre, Fulanito, tu sais déjà que ton ignorance est mon pain.

Ils le s'attendaient et riaient, mais les premières fois j'ai eu à leur expliquer que s'ils savaient trouver le correcteur orthographique, ou configurer l'imprimante à un double visage, moi un poste n'aurait pas raison d'être. Je sai bien que si mon travail était seulement fait ou quelqu'un le rendait gratuit l'entreprise ne m'aurait pas commercé ou je prendrais congé au moment.

Maintenant, il est possible que ma vision de genre ne soit pas suffisamment juste, enfin et au cavo je suis un homme élevé dans une société patriarcale, et c'est pourquoi je demande : Voyez-vous essentiellement les tables en verre différentes des doutes ofimáticas d'un utilisateur ? Pèche-je par machisme ou Jessica “d'hembrismo“ ?

Saturday, March 20, 2010

La Semaine Rouge de Hugo

Comment il passe le temps! Un autre semanita qui part, et de ja d'un souvenir sa Seine Rouge, dans cette occasion élaborée par l'Hugo Martínez Abarca insigne, passez et lisez

Depuis le Bois dans De grand lit, la semaine rouge tourne Chamberí, d'où il n'a jamais dû sortir, puisque tout le monde sait que c'est le centre névralgique de la gauche mondiale.

Pour échantillon un bouton : Fausto Fernández a demandé à Ignacio González (le vice-président de la Communauté de Madrid qui selon les espions de Grenadiers se promène dans la Colombie avec bourses de contenu inconnu) par le terrain de golf de Chamberí, avec lequel il a fait du bien aux associés de son frère et de son beau-frère et lequel la justice a déclaré illégal. “Cela tu ne me le dis pas dans la rue”, a répondu le dirigeant du parti des hijoputas et des peignes universitaires. Le Faste est sorti à la rue, il a pris un ordinateur, et on l'a dit dans la rue.

Le 16 février 1936 le Front Populaire a vaincu dans les dernières élections démocratiques dans beaucoup d'années : la droite lui a dit à la citoyenneté que cela on ne le disait pas dans la rue. Dans l'Acier Blochevique nous avons lu un souvenir de cette victoire de la gauche et, donc, de la démocratie. Tandis que, Rafa nous comptait depuis Kabila quelques journées intenses sur une mémoire historique.

La semaine politique a tourné sur nouveau un mantra à la mode : un pacte de l'État qui nous permet de renoncer à certains droits acquis et à n'importe lequel que nous cherchons à conquérir. Inés situait le débat en face des mots creux. Dans le Congrès des Députés il était discuté, probablement, sur la crise. Dans les moyens on ne pouvait pas trouver le discours de Gaspar Llamazares, délégué de la troisième force politique : il fallait le chercher dans le blog d'Àngels. Parfois les députés gagnent le salaire, par beaucoup de démagogie qui existe à ce sujet : viul il réfléchissait aux rémunérations et aux privilèges de nos hommes politiques.

Sans nécessité de pactes, presque tous les partis se mettent d'accord dans quelques choses : tandis qu'en Hollande cassent les gouvernements pour sortir de l'Afghanistan, en Espagne la Commission de Défense a autorisé l'envoi de plus de troupes à la guerre avec le vote pour du parti socialiste espagnol, de PP, de CiU, PNV et UPyD tandis qu'IU maintenait le drapeau de Non à la guerre. Ceronegativo nous le comptait en se demandant par la pince fameuse. Tandis que, dans Diseccionando Pays nous voyions les manipulations qui existent sur cette guerre d'occupation : nous pouvons voir sur des photos des soldats d'infanterie navale un Américain en défendant un père et sa fille des mauvais talibés … Le mauvais consiste en ce que le même père et la même petite fille sont défendus par des soldats d'infanterie navale distincts et dans des poses distinctes à des éditions distinctes des quotidiens ce qu'il fera qu'un méfiant soupçonne que la photo n'est que théâtre pour nous convaincre des bontés de la guerre.

Pour la pince qu'il faut mettre dans le nez après avoir vu comment la mairie dans laquelle je vote plus le parti socialiste espagnol il l'y a de l'Espagne, de parla (Madrid), un sol public se régale pour une école ordonnée. Dans les Mouches dans la Soupe on signale par réussite que ce qu'il nous devrait différencier à la gauche est la défense du public.

Dans la RASD une course cycliste solidaire avait lieu avec le peuple saharien de celle qui se doit un compte dans Gotes d’aigua. À l'Euskadi c'était Mikel Arana qui réfléchissait à la possibilité d'obtenir la paix à la suite de la déclaration récente de la Nationaliste basque Gauche. Et Luis Ángel Aguilar nous comptait l'initiative curieuse des Pazyasos. Et tandis que tant de gens font des choses pour obtenir un monde plus juste et pacifique, les autres suivent engagés dans la censure, la menace et l'inquisition : dans L'Espeto Victorien on dénonçait la victoire de l'intégrisme chrétien qui a réussi à fermer une exposition parce qu'il ne plaisait pas aux nouveaux torquemadas que d'autres personnes pussent librement la voir.

Enfin, je veux signaler un texte qui m'a beaucoup plu : nous sommes un pays dans lequel il y a très peu de militantisme politique et dans lequel la culture peu abondante démocratique stigmatise le militantisme politique. C'est pourquoi il fait une illusion voir comment l'utilité du militantisme est reconnue quand nous profitons d'elle pour donner une voix aux collectifs qui n'auraient pas de voix sans IU. Manolo Lay compte son cas, qui est représentatif de certains des gratifications que le militantisme permet dans la Gauche Unie.

La semaine prochaine La Semaine Rouge sera élaborée par Lidia. Comment ça va très loin de Chamberí, il est possible qu'il ne lui sorte pas mal. Ayons confiance en cela.

Friday, March 19, 2010

La refondation de la gauche habille du dehors (d'IU) (II)

Il y a une faim de refondation dans la gauche. Je crois que c'est un fait de plus en plus clair. Pour s'ajouter un enthousiaste, pour le contempler depuis la méfiance ou pour prédire son échec inévitable il y a peu d'acteurs de la gauche qui ne se sont pas prononcés sur le processus de refondation.

J'espère que ce fait ne passe pas inaperçu entre ceux qui peuvent pousser ou freiner ce train, parce que chaque jour qui passe, chaque centimètre qui est gagné et chaque pincée de vitesse qui est obtenue nous serons plus près de la station suivante, mais le déraillement serait plus désastreux.

Désastreux pour tous.

Nous trouvons un autre apport dans le blog la Lance, d'un militant de Gauche Indépendante de Sanse : Des impulsions, des forums, des mouvements, des espaces, des partis, des initiatives de gauches.

Une lance nous donne sa vision particulière, de son militantisme local et dès son assistance à trois divers actes mais avec beaucoup de points d'union : L'acte de commencement de la refondation à la fin d'un décembre; l'organisé par l'association Impulsion Participativo de Alcobendas et Sanse et enfin le Forum par la Participation sociale en forme d'un dîner - hommage à Inés Sabanés.

Une lance a plus de questions que des réponses, comme tous ce qu'ils sont dans cela d'une forme sincère, mais si tu ne poses pas les questions adéquates tu ne pourras jamais trouver les réponses correctes. Bien qu'il ait pour l'une qui est faite peut-être une réponse : Qu'est-ce que II peut faire ? puisque comme la force très importante de la gauche alternative de Sanse, si la montagne ne va pas à Mahoma …

Watch Melrose Place (2009) S01E14 Stoner Canyon now

Une gauche, une gauche alternative et gauche radicale

Une connaissance qui les étudiait m'a expliqué une fois un décalogue de principes du marketing, quelque chose de pareil retentissante comme “les 12 commandements du Marketing”. Je de ces choses ne comprends rien, mais ils m'ont semblé très intéressants. Vaux, beaucoup du bon sens (il y avait l'un qui disait que sans pâte il est impossible d'avoir une bonne campagne de marqueting, Oh my gOOD!) mais les autres m'ont fait penser.

Le cas consiste en ce que, en lisant l'entrée du (ex-) collègue Reven sur le Meeting international de Gauche Anticapitaliste à l'occasion du countersommet un Hispano-marocain et l'usage du terme “la gauche radicale” pour auto définir à la Gauche Anticapitaliste je me suis souvenu des lois celles-là.

L'une était la “Loi de la catégorie“. Il venait à dire que si tu ne peux pas être le leader dans une catégorie déterminée, tu peux toujours créer une nouvelle dans laquelle si que tu l'es. L'exemple était le rafraîchissement “7 Up”, qui a créé une propre catégorie dans laquelle être le premier au lieu d'être 15 chez le général de rafraîchissements.

L'analogie est très claire : Une gauche Anticapitaliste ne peut pas être la première dans le segment “d'une Gauche Alternative” avec ses 25.000 votes, dès qu'il crée la nouvelle catégorie “d'une Gauche Radicale” où si cela aspire à être la première. Pas si c'est une stratégie préméditée ou vient donnée par la logique pure de vouloir la différence son "produit" (remarquez-lui ces guillemets et toutes les suivantes) du nôtre.

Avant que personne ne me le dise : c'est certain, IU a aussi créé la catégorie “la Gauche Alternative”, dans laquelle être la première en face de la catégorie "Gauche" où il domine (chez les chefs des "consommateurs") le parti socialiste espagnol. Il vaut, mais aussi il est certain qu'IU rivalise, et avec un certain succès, en section "Gauche".

Il y avait une autre loi de celles-ci qui disait à la fin chaque segment de marché il devient “chose de deux”; une bataille entre le premier et le deuxième où ils sont arrangés le reste. Si c'était UN certain IA il aurait fait le correct (ou l'unique) et on aurait créé un autre segment dans lequel régner. Tout cela en parlant dans des termes de marqueting, d'espace.

Mais un espace, l'une des dernières lois était celle de la division. Il supposait que tôt ou tard une catégorie sera divisée pour devenir deux. Un mensonge, au PP la catégorie "droite" ne la dispute pas personne : ou consiste-t-il en ce qu'il y a une catégorie “un centre - droite“ où PP et parti socialiste espagnol se donnent des coups de corne ?

Certes, l'acte qu'il annonce Ils Revoient, et contre le sommet où il est encadré, ils ont une bonne mine. Si tu es par Grenade passe et tout de suite tu me comptes comme se distingue la “gauche alternative” de la “gauche radicale”, pour voir si la division se justifie, au-delà du marketing.

P.D. : Putada pour l'image de marque, trop de gens utilisent les initiales IA pour la Nationaliste basque Gauche au lieu de pour la Gauche Anticapitaliste, vous renommez déjà l'Espace Trotskista : ET n'est pas attrapé.

Thursday, March 18, 2010

Le Guantanamo : ”sol des États-Unis” ?

Hier, dans le programme “dans des jours comme aujourd'hui” de Radio5 de RNE le speaker Juan Ramón Lucas, comme à la 07:10, après avoir traité la mort d'un prisonnier dans une prison cubaine (la deuxième nouvelle de couverture! Chaque mort produite en prison Colombienne ou Américaine ouvre-t-elle le de renseignements de RNE, ou cet honneur est-il seulement réservé en Cuba ?) il a passé au sujet de l'envoi (pas en qualité de que) de 5 prisonniers du Guantanamo à l'Espagne.

Le cas consiste en ce que la phrase plus ou moins littérale dans le passage d'une nouvelle a été jusqu'à l'autre “nous n'abandonnons pas l'île de la Cuba, mais cette fois depuis un sol américain parce que depuis la base du Guantanamo ils sont sortis l'avion (…)”

Le Guantanamo : ”sol des États-Unis” ? Mandeeé ?

Récapitulons : La Base Navale de la Baie du Guantanamo occupe environ 120 kms ² la Municipalité de Caimanera, dans la Province du Guantanamo, dans la république de la Cuba. C'est l'une des bases américaines les plus importantes en dehors de ses frontières. La première occupation Yankie du territoire date de 1895, dans une pleine guerre un espagnol - Américain, bien que ce fût sanctionné comme “une location perpétuelle” au gouvernement des États-Unis le 23 février 1903. Aujourd'hui elle est tristement fameuse pour être champ d'internement et de tortures extrajudiciaires de (ni si même présumés) des ennemis des EU.

Après la guerre entre l'Espagne et les EU (1898-1902) Cuba, avec le Puerto Rico, les Philippines et Guaján (Guam) se sont mis à être colonies yankees, dans le cas cubain jusqu'à l'indépendance en 1950.

En 1903 les EU ont accordé une constitution à la Cuba (une espèce “d'une lettre octroyée”) où, sous menace, de continuer l'occupation, s'est introduite la connaissance comme “amendement Platt” qui établissait l'obligation de céder un territoire pour des installations militaires aux États-Unis. Dans le cas du Guantanamo une location s'est établie “jusqu'à ce qu'ils eussent besoin de cela”, bien que se reconnût la souveraineté Cubaine de la base.

Le gouvernement cubain se refuse à toucher la location dès 1961 après ne pas avoir reconnu l'occupation et a dénoncé dans une multitude d'occasions le traité dans une vertu à l'article 52 de la Convention de Vienne de 1969 qui déclare l'abolition d'un traité si on finit que s'est utilisée la force ou l'intervention.

Le total que don Juan Ramón Lucas a démontré un être “plus Papiste que le Papa” comme il a l'habitude d'être dit et a donné une lettre de nature à l'État Unis pas seulement à (la moins douteuse) une légitimité pour occuper le territoire en vertu d'encore un accord forcé d'un siècle avec un gouvernement une marionnette mais encore plus, la souveraineté du territoire précité comme partie des EU, quelque chose que ni les antiCubains les plus belligérants des EU osent à de dire.

Je suppose que la consigne d'aujourd'hui fût “une barre est en congé” contre la Cuba : dans le de renseignements au moins une fois il a dit “un gouvernement cubain” et tout de suite il a rectifié par “un régime cubain”.

Là tu l'as, par la “radio publique”, comme ne se fatigue pas Juan Ramón Lucas de redoubler. Comme s'il y avait beaucoup de différence.

Une grève Générale (en Grèce)

Il dit un proverbe savant que quand tu verras les barbes de ton voisin peler …

J'habille dans : pcasevillatv

Wednesday, March 17, 2010

Orlando Zapata

Eh bien, puisqu'il touche parler “du sujet” : Orlando Zapata. Comme il dit que Pierre les communistes nous avons à donner des explications de tout et de tous … ils sont concrètement venus à me les demander propres et étrangers, autre il semble que même ils se sont hâtés de me juger et de me condamner. Les choses d'avoir un blog, je suppose.

Il ne savait pas trop bien si parler du sujet, comme tu peux lire par là là-haut mon temps je l'emploie dans les choses qui me préoccupent ou ils m'amusent, et cela entre à l'intérieur, évidemment, de la deuxième catégorie. Mais bien que l'un puisse penser de beaucoup sans savoir de rien il y a des certaines limites, et mon ignorance sur la trajectoire vitale et les circonstances d'Orlando Zapata est telle qui me donne une honte écrire ce que je porte, et cela que je n'ai encore rien dit.

Dès que je fais une parenthèse pour me mettre dans un plan Zola et son J’accuse …! parce que je crois que tous ceux qui sont sortis pour condamner tout de suite la “cruelle dictature cubaine” (sic) ou pour défendre la Cuba à une cape et à un matador il fait ce qu'il fait ils l'ont fait depuis les apriorismes précédents au cas, et c'est pourquoi sans la rigueur la plus minimale, comme bien le dit Javi Mesonero. Et oui, je m'accuse à moi aussi parce que je vais parler aussi sans avoir il ni conçoit, bien que j'attende qu'avec un peu plus d'humilité que le bas.

Dans une chose je me rencontre avec le reste de ceux qui excitent ce “cas moderne Dreyfus” et il consiste en ce que mon opinion sur la Cuba, son peuple et sa révolution n'a pas changé : un tome prêtées les mots du camarade J. G Seigle : “ma solidarité et compromis avec la Cuba et sa Révolution (qu'en trop qui n'est pas parfait) est totale”

Un autre sujet est l'agenda : parce que le groupe a-t-il à me dicter l'agenda mediático d'un tour ? Les moyens que d'autre part un très clair biais a. Si chaque fois qu'en Palestine mourait quelqu'un dans une prison, une incursion, un assassinat "sélectif", un contrôle de routes, des adieux de célibataire de colons, piétiné par un buldozer dans ton oliveraie ou n'importe lequel des milliers des circonstances qui peuvent (involontairement) te porter à la tombe à la Terre Sainte ne fallait jamais lui consacrer (au moins) trois jours les couvertures on informerait de l'autre chose.

Mais le malheur de plusieurs me ne console pas. Comme le dit Hugo (plus ou moins) si l'un cela en faveur de quelque chose, il l'est partout, pour tous ou pour aucun, et que, pour la gauche “les erreurs qui sont commises en Cuba font mal comme propres, parce que la faiblesse de tout socialisme est propre faiblesse”, les mots que je souscris aussi.

La mort d'Orlando Zapata m'a peiné. Il m'a fait mal comme être humain, bien qu'il ne le connût pas. Je crois que j'ai seulement désiré la mort à Pinochet et à Framboisier, et quand n'est pas non plus mort le premier j'ai pu être content beaucoup que nous disons, mais la mort d'Orlando Zapata est très spéciale : c'était une mort cherchée. S'il y a dans quelque chose une unanimité à une gauche et à une droite dans ce sujet il est dans que s'établit un degré (une variable) de responsabilité au gouvernement cubain pour “laisse mourir” Orlando Zapata. Je diverge ici, je crois que comme avec le suicide ou avec la mort digne l'État (tout État) n'est pas qui pour prendre une décision semblable au lieu de plus grand quelqu'un d'un âge et avec de pleines facultés mentales. S'il est vrai qu'Orlando Zapata cherchait la mort (85 jours dans une grève de la faim ne sont pas aucune une lanterne précisément) et croyait qu'ainsi il luttait pour ses idées, puisque je ne me vois pas sincèrement avec une autorité morale pour le lui interdire. Oui le, pour essayer de convaincre ou lui, pour essayer de donner une sortie, il daigne, mais non pour le nourrir de force (la chose qui est considérée torture comme celui à qui on demande, certes).

Sur le sujet de parce qu'était Orlando Zapata dans la prison j'ai plus de questions que des réponses. Je n'ai pas vu à personne desmotar d'une forme sérieuse le jugement qui l'a condamné, dès que je peux supposer qu'il fût effectivement dans la prison pour violer la législation en vigueur en Cuba, et à aucun état souverain on lui peut être demandé qu'il n'accomplisse pas ses lois, alors il ne serait pas déjà démocratique. Si les lois sont justes puisque je n'ai pas d'éléments de jugement.

Enfin, je n'ai beaucoup plus qu'aborder sur le sujet, recommander de lire seulement une vision du sujet depuis la propre île (le Patin : un mort utile ?) et comme je m'ai passé toute l'entrée tomandas des mots prêtés des autres, puisque je vais finir ainsi, consacré pour ceux qui sont sincèrement dits des gauches et cherchent l'ennemi dans une cuve :

Yes I know my enemies
They laboure the teachers who taught me to fight me
Compromise, conformity, assimulation, submission
Ignorance, hypocrisy, brutality, the une élite
All of which laboure American dreams

Rage Against The Machine – Know Your Enemy

et aucun n'est cubain.

Tuesday, March 16, 2010

Ciclogénesis explosif

“Ciclogénesis explosif”. Avant ils l'appelaient simplement “un hiver“, ou un "mauvais temps" inclus. Mais un espace, moins de journaux se vendent.

J'édite à 12:30 heure. Je m'ai été informé un peu et c'est un phénomène relativement rare en Espagne, nous allons, qu'il se rend une fois par an ou j'ai pris racine.

En suivant la feuille de route vers la fin d'ETA

Je vais prendre rendez-vous à moi même, que mola beaucoup et il sort bon marché, disais-je en commentant Zukit Euskal Herria (le dernier communiqué de la Nationaliste basque Gauche) :

Les corps et les forces de sécurité de l'État (la Femme-policier, le Membre de la police autonome basque, la Garde civile, etc.) doivent redoubler ses efforts et capturer au plus grand nombre de membres de l'ETA et de pardessus à éviter tout attentat qui oblige la Nationaliste basque Gauche à avoir que posicionarse à une faveur et l'envoyer tout à la touchette.

Et la Nationaliste basque Gauche doit accomplir le plus vite possible la loi de partis et s'assurer sa légalité pour pouvoir se calmer à son bunker avec un intérêt …

Eh bien, donc pas si ce blog est comme celui de Viul et Rubalcaba et Otegui le lisent, mais le cas consiste en ce que quelqu'un suit ma feuille de route : D'une part l'Ibon Gogeascoetxea Arronategi est tombé en France, le maximum dirigeant d'ETA et par l'autre :

La nationaliste basque gauche aspire à concourir encore aux élections municipales de 2011. Pour cela il cherche à obtenir, avec l'appui des médiateurs internationaux, une trêve permanente et vérifiable d'ETA et se trouve acculée à réaliser une déclaration contre le terrorisme qui peut satisfaire la Loi de Partis, surtout si ETA attentif. On se charge du temps et le délai qui a été fixé est l'automne.
LUIS R. AIZPEOLEA – Tournent les médiateurs internationaux

Ainsi nous allons très bien, à ce pas bien qu'ETA et le PP résistent, la fin clôture cela. Dès que tu sais déjà, à continuer d'écouter The Doors :

Un paravent my subscription to the Resurrection
Send my credentials to the House of Detention
Un Ier got some friends inside

The Doors – When The Music’s Over

Monday, March 15, 2010

“Viramundeando“ la Semaine Rouge

Je la porte frisquet entendez, la dernière édition de la Semaine Rouge, au compte du Viramundeando insigne

Cette semaine j'ai été la responsable de sélectionner “La Semaine Rouge”. Quand je me suis disposé à la faire j'ai décidé qu'il y aurait un post par chaque jour de la semaine, et qu'il y aurait un équilibre entre blogueros et blogueras. Je l'ai essayé (bien que je remarque qu'il a été difficile) et … c'est ce qui est sorti!! Un lundi : Liber a levé une guerrière et il nous a mis à tous et toutes dans une orbite avec son post “le temps des gens ni peut doit n'attendre”. Un temps des gens et un temps des propositions d'IU. Un mardi : Dans son post “citoyenneté, pacte et santé”, Àngels attirait l'attention sur la nécessité de ce que nous nous impliquons pour obtenir un bon système public de santé, en avançant l'intervention qu'il aurait le 26 février dans les journées sur une santé organisées à la FEC et au groupe IU-ICV. Un mercredi : Des mobilisations contre le pensionazo Hugo a parlé en “Le principe du mouvement”, et je me rencontre avec lui que 23-F ce n'a pas été un point d'arrivée mais c'était un point de départ. Un jeudi : Javier Mesonero a écrit sur un sujet qui aurait donné lieu à des jets d'encre s'il n'était pas parce que nous sommes dans l'ère digitale, la mort d'Orlando Zapata. De tout ce que j'ai lu sur le sujet, je crois que c'est le post auquel je m'identifie plus, c'est pourquoi j'ai sélectionné son “Je condamne“. Un vendredi : La semaine suivante le Tribunal Russell a lieu sur la Palestine à Barcelone, elles n'ont pas été peu nombreuses, les difficultés qui ont à être tirées au sort pour pouvoir le célébrer alors il me semble important me faire l'écho du post que Francesc Matas écrit tripote ce sujet, “Tribunal Russell Palestina“. Un samedi : Ceux du manifeste de “100, les économistes de la droite, attaquent de nouveau“, et sur cela Antonio nous remarque depuis Amanece qui n'est pas peu nombreux. Un dimanche : Ève chauffe des moteurs à l'occasion du Jour International de la Femme, et j'avec elle, dès que … ici je vous laisse son “En Préparant le 8 Mars”. Et avec cela et un biscuit … le témoin a passé à Javier Mesonero, plus connu comme Javi Moscas. Un salut!!

Sunday, March 14, 2010

Je sors dans le Monde Ouvrier

Mes photos dans le Monde Ouvrier

Avec cela je crois que vont 6 fois (1, 2, 3, 4, 5), la majorité photos mais aussi une collaboration littéraire, que le Monde Ouvrier ose me publier : ils sauront!

Dans ce cas, évidemment, il s'agissait des photos de la première journée de la marche contre la corruption urbaine que j'ai eu l'honneur de partagé avec IU et le PCE de la Castille-la Manche et avec Pierre.

La galerie complète de photos de ce jour vous la pouvez voir ici. Nous avons aussi fait un vidéo : La sortie de Seseña, José Damián García, de Jorge Vega, de Manuel Fuentes, l'Îlot rocheux Lara et Daniel Martínez.

Un bon souvenir d'un grand jour.

Des propositions contre la Crise

Le Conseil Scientifique d'ATTAC estime que 1.400 personnes contrôlent et gèrent actuellement en Espagne un capital équivalent à 80 % de son PIB.

Avec un objectif démocratique toute sortie sociale de la crise doit prioritairement écouter les intérêts du reste de population, non des plus riches.

Avec un objectif de justice sociale, les travailleurs, les petits entrepreneurs et les autonomes, les jeunes hommes, les femmes, les pensionnaires et les immigrants ont déjà approché l'épaule. Il touche maintenant le compromis des puissants.

Avec un objectif de rigueur technique on peut seulement avancer la sortie de la crise si elle est considérée comme une crise de demande. C'est pourquoi, il faut élever la consommation privée, la dépense et l'inversion publique.

L'un a à écouter dire parfois qu'IU n'a pas de propositions. Peut-être hauts idéaux, ou de bonnes idées, mais non des propositions. Aussi que nous nous définissons toujours “à elle contre” : toujours "Non". “Non à cela”, “non à cela” ou “non à lui de plus loin”, mais que nous n'avons pas d'alternative et que s'il nous "touchait" (sic) gouverner “à voir que nous faisions”.

Dans une politique, cela équivaut à qu'ils donnent le prix à “Miss. Une sympathie” dans un concours de beauté.

Cette image n'est pas casuelle ni plusieurs moins innocent (comme les autres), et bien que ce soit aussi en partie notre responsabilité.

Il ne faut pas oublier que depuis que “ils ont gagné les bons” défendre l'obtenu dans 150 ans précédents de luttes ouvrières a eu envie trop difficile comme pour pouvoir se consacrer à ce qu'il reste à obtenir, mais là elles sont, les tentatives d'avancer, comme les 35 heures par exemple.

Cette image est "fabriquée" d'une forme très préméditée par ceux qui ne sont pas intéressés dans qu'un pardessus s'a dans toute celle que l'expérience vaste et riche de gouvernement d'IU dans l'enceinte municipale mais principalement son modèle, basé dans à l'alternative (politique, économique, écologique et sociale) et non dans l'alternance simple même - perro-distinto-collar.

Maintenant le sujet brise, celui qui marque l'agenda (à presque tout le monde) est la Crise. Et en face de la Crise le gouvernement a appelé aux groupes distincts politiques de présenter des propositions. Les siennes nous les connaissons déjà : ils passent parce que les travailleurs paient la crise. Le PP n'est pas défini. Il ne présente pas il ne peut pas ne présenter d'alternative, puisqu'il ne peut pas confirmer ce que presque tout le monde sait : que les propositions du PP et du parti socialiste espagnol sont les mêmes avec de petites nuances “sociales” (si ceux qui achètent une dette consentent) ou ultralibéraux sans complexes.

Convoquée à cette réunion IU il va porter 100 propositions concrètes, qui suivent la philosophie des trois paragraphes qui sont en tête de cette entrée. Une sortie la crise par la gauche avec plus de droits pour les travailleurs (une pensions, ETTs), une banque publique, une rationalisation de la dépense publique, une réforme fiscale (progressive!), une politique industrielle, une réforme patronale …

Si le gouvernement veut sortir de la crise par la gauche, et d'un pas sortir de sa désorientation évidente voilà une base solide et une épaule pour approcher. S'il veut seulement gagner un temps pour voir s'il cesse de pleuvoir, ou lever un rideau de fumée tandis qu'il prépare l'attaque suivante aux droits des travailleurs, alors n'aura pas en face : dans la rue et dans un parlement.

Je documente : 100 propositions d'IU

Ils parlent aussi du sujet : Àngels, Basseta, Luis Ángel ou Kabila.

Saturday, March 13, 2010

Un sexe


Daniel Martínez, génial comme toujours, m'envoie cette “capture d'écran”. N'essayez pas de le comprendre, c'est une histoire drôle privée.

Une avance de Top 30 de ranking de blogs de politique de Wikio de mars

“Les notes” s'approchent, le cinq de ce mois dans lequel sera publié ponctuel le ranking de blogs de Wikio qui me tourne aimablement à "filtrer" comme février l'avance des 30 premiers de politique.

Comme le mois passé il n'y a pas beaucoup de changement dans la coupole. Le premier changement est Kabila qui cède le poste à A le salaire de Moscou qui laisse à son tour son poste à Celui Qui il comprend beaucoup. Vous voyez déjà qu'entre des collègues il parcourt le jeu.

Dans le personnel un poste méritoire je m'effondre, avec toute logique, jusqu'à un encore 12, et je cède adoré mon poste à Inés Sabanés (“l'effet a concouru” il a aidé, il est clair) qu'il m'avance avec l'autre des grandes dames d'iloveiu : Àngels (punts d'une vue). Des filles, je reste ici, au ladito de Javi Moscas, dessous le votre.

Eh bien, sans plus un papotage vous a laissé la liste, c'est resté ainsi :

  1. Escolar.net
  2. NetoRatón 2.0
  3. Des journalistes 21
  4. Un domaine public
  5. À un salaire de Moscou
  6. Une guerre éternelle
  7. Qui comprend-il beaucoup
  8. Le Blog de Inés Sabanés
  9. Kabila
  10. ” Un gentleman ZP“
  11. punts d'une vue
  12. ceronegativo
  13. Des mouches dans la Soupe
  14. Arsenio Escolar
  15. Enrique Meneses
  16. Martha Colmenares
  17. Des zéros
  18. une impulsion
  19. Blog de Marc Vidal en castillan
  20. Blog de Jordi Sevilla
  21. La Cour du Congrès
  22. “… depuis Cadix”
  23. Antoni Gutiérrez-Rubí
  24. Des matières Grises
  25. Le Fils Rouge
  26. abloguear
  27. Depuis l'exil
  28. Patxi Lopez
  29. Des administrations dans le Réseau
  30. C'est la liberté d'expression, des idiots
Certes qui me peine ne pas voir par ici Jéssica Fillol, malgré les polémiques que nous pouvons avoir ;-)

Orlando Otegui vs. Arnaldo Zapata

À voir :

Le choeur de voix irascibles qui à une droite et à une main gauche mènent depuis la mort d'Orlando Zapata (ou avant) en pestant contre la Cuba.

Ceux qui criaient contre que par implication et(ou) connivence avec le terrorisme il y a des peines de prison dans la législation cubaine.

Ceux qui ont parlé du "régime" cubain, de la “dictature castrista”, et cetera, et cetera, et cetera.

Ceux qui sont existés solidarizado par active et par passive avec les "dissidents".

Ceux qui ont inondé des nouvelles, des éditoriaux, des colonnes, des lettres, des manifestes, blogs, des chroniques, des déclarations, des communiqués, des motions ou des petites soirées avec les lambeaux de ses déchirés vêtements, toujours blancs et purs.

Ceux qui disaient qu'ils n'existent pas absolutoires, des cas spéciaux ni atténuants. Ceux qu'il ne voulait pas entendre parler du Guantanamo, de la Palestine, de la Colombie, du Maroc, le blocage ou des coureurs de la mort (encore moins de fossés ou de franquisme).

Ceux qui méprisent et insultent à ceux qu'ils ont (et : ils osent prononcer!) des nuances, des doutes ou des opinions différentes de celles du troupeau.

Ceux qu'ils signalaient avec le doigt et exigeaient des condamnations unanimes, instantanées et sans nuances; ceux qui pressaient à des putschs immédiats.

Et certain plus que moi a laissé, compréhensif qui étaient plusieurs.

Que je dis qui tous ceux-ci de là-haut lèveront déjà la voix et solidarizándose par active et par passive avec Arnaldo Otegui que je ne crois pas qu'ils ignorent viennent de condamner à 2 ans de la prison et 16 de déclaration d'incapacité (je, cela a une grâce) pour dire que “[fulanito] est un détenu politique” (permets-moi qu'il mette “fulanito” au lieu du nom, c'est moi qui n'ai pas le jour pour “m'immoler” ou pour être “martyr“).

Et voilà qu'ils auront aussi le manifeste comme déjà signé, prêt de publier, dans une défense de The Juana Kaos à quand ils l'extraderont par l'accusation d'écrire “il arrive avec la balle” (mais chez un Basque).

Oui, je crois que m'arrivent déjà les échos, je l'entends un espace : “un régime espagnol”, “dictature des frères Zapatero”, “une transition urgente démocratique”, “libération de dissidents”, “des prisonniers de conscience”, “d'un exil espagnol”, “nécessité d'élections libres”, “d'une condamnation internationale”, “une liberté de la presse“, “avancer dans le respect des droits de l'homme”, “répression de l'opposition démocratique”: “l'Espagne vive libre!” …

Friday, March 12, 2010

La CEOE proposera de reimplanter le “droit de coup de pied” et de pouvoir marquer les travailleurs avec un fer à rouge, je vis

Récemment, et étant donne que de la crise nous sortons tous juntitos, la CEOE a présenté s us des propositions de “réforme du marché du travail”. Comme il a été connu aujourd'hui, par des questions “d'un contexte social” on a décidé que laisser dehors deux annexes qui recueillaient la reimplantation de deux figures qui avaient disparu de la législation de travail espagnole fait un temps.

En premier lieu on mentionnait le “droit de coup de pied” (dans une rigueur “ius primae noctis“). Ce droit, qui a été très étendu “dans des pays de notre entrono” comme remarque la CEOE, permettait à monsieur feudar de gésir avec l'épouse de son sujet dans la nuit de noces, ou plus communément de permuter ce droit par un paiement chez des espèces ou en espèces. Reimplanter ce droit servirait “d'une compensation à l'entrepreneur par le mois lourd des vacances dont jouissent les travailleurs après être marié”.

En deuxième lieu le document de la CEOE proposait, “en raison d'une sécurité et une image corporative”, qu'il permît de marquer les travailleurs d'une entreprise avec un fer incandescent. Bien que le document remarquait dont “nous ne sommes pas au XVIIe siècle” et le processus de marqué devrait avoir “les garanties nécessaires d'hygiène” ainsi que “respecter l'intimité et l'autonomie du travailleur” donc on ne pourrait pas appliquer “dans le visage ou les organes génitaux”

Le document il y a longtemps l'accent dans lequel ces mesures dans aucun cas seraient "imposées" ni “nécessairement d'une application universelle”, mais “serait disponible un raisin sec été admise d'une forme volontaire par le travailleur dans le processus de négociation de contrat avec l'entrepreneur”. Sur cette mesure la CEOE il rend la précision qui “dans une première phase d'implantation” pourrait s'appliquer “aux travailleurs subsahariens d'origine” puisque par “une mémoire culturelle” seráinmás enclins à accepter cette mesure.

Te semble-t-il exagéré ? Puisqu'il lit, il lit. Et il est que depuis que “ils ont gagné les bons” il n'y a pas déjà de limites … pour l'avarice des entrepreneurs.

Thursday, March 11, 2010

Une vie analogique

Je m'ai passé 24 sans Internet à la maison (ni dans aucun côté) en remémorant comme on était celui-là de la vie analogique. J'arrive et je me trouve des centaines (légitimes) de commentaire, des milliers de commentaires (SPAM), des douzaines de postes …

Puisque pas tout à fait, que dans un petit peu je me mets par jour.

Slash et Marta Sánchez : Un mystère résolu

Dans le supplément culturel Du Pays un entretien vient aujourd'hui avec Slash, mondialement un guitariste connu des Guns pleurés ‘n Roses (et de Slash’s Blues Ball, de Slash’s Sankepit et de Velvet Revolver).

À une partie de que l'homme pour les années qu'ils ont passé, avoir laissé les drogues, porter un régulateur cardiaque, être marié et avoir deux enfants ne conservent pas mal; et qui est de remercier qu'à cette date il ne se repent de rien, a empêché de dormir à l'un de ces grands mystères de l'histoire de rock : la collaboration de Slash avec Marta Sánchez en 1997, le duo le plus étranger de tous les temps jusqu'à ce que björk il se croisât avec Raimundo Amador.

EP3. Il pouvait avoir appelé Marta Sánchez. Il a collaboré avec elle à sa chanson Il mouille mon coeur. La rappelle-t-il ?

S. Claro que je la rappelle. Comment est la Marte ? Continue-t-il de chanter ? Lui va-t-il bien ?

EP3. Oui, de plus je crois qu'il est sur le point de sortir un disque. Et elle est très belle, je crois que plus que quand il a collaboré avec elle.

Un siècle. C'est qu'elle est très belle. De plus elle est une tante guay. Quand j'ai été là nous sortons beaucoup de nuits par des endroits de flamenco.

EP3. Comment a surgi la collaboration ?

Un siècle. Je crois que mon ami [nile] Rodgers, mon producteur [et un guitariste de Chic], a projeté ce travail pour pouvoir aller en Espagne et la se lier. Je ne sais pas ce qu'il a passé il me ni importe.

Un mystère résolu. Il a passé que n'importe lequel pouvait avoir imaginé : un mélange d'amitié, de sexe et de drogues - fêtes. Trois de cinq choses, avec la pâte et l'ego qu'ils bougent le rock. Il y a longtemps que nous savons que la musique et la politique sont beaucoup plus secondaires.

Du nouveau disque de Slash, qui promet, nous parlerons déjà un autre jour.

Wednesday, March 10, 2010

Fabra à la Presó

Ces jours beaucoup de collègues et collègues (Alex, Basseta, Mayoyo, Hugo, Viul, Kabila, Àngels, Iñaki ou Juan, pour citer seulement certains,) on est solidarizando, "en" "autoinculpant" ou simplement ayant des hallucinations avec le cas Marina Albiol.

Bien que je suppose que tu sois au courant, ou tu peux le lire dans le blog de la propre Marine je te compte le basique : Marina Albiol, est déléguée de la Gauche Unie à Valence (EUPV) en plus d'une collègue d'iloveIU. Puisque le Carlos Frabra corrompu "présumé" l'a dénoncée en l'accusant du délit d'injures et de calomnies par l'adhésif que vous voyez à gauche de cette entrée.

Comme dans le cas du Puisatier contre Manuel Fuentes la justice poursuit les honnêtes et protège les corrompus.

Le monde à l'envers.

Je crois qu'Il est Tombé Lara parle par tous quand il dit qu'un tribunal lui adorerait voir Fabrá “, un condamné et dans la prison, à un costume de raies, s'il frappe“.

Le denúncia de Carlos Fabra contre Marina Albiol (expliquée par Marina Albiol)

Hier le denúncia de Carlos Fabra essayait d'expliquer contre Marina Albiol. Mais un commentateur aimable m'indique que, comme vous voyez là-haut, elle même l'explique.

Dès que vous prendre un intermédiaire inutile de dans un milieu, et la même écoutez.

Tuesday, March 9, 2010

Des mouches dans la Soupe : Ma semaine rouge

Un collègue, ta semaine rouge est mon senana rouge :

Cette semaine je me suis disposé à sélectionner la Semaine Rouge. Dès que comme il vient cargadita, sans plus il demeure, je me mets à raconter les recettes qui m'ont plus attiré l'attention.

Gorka Esparza, notre correspondant dans Brobdingnag se fait l'écho d'une manifestation qui a pour objectif durcir la Loi du Mineur et pointe, promptement, les responsables politiques qui se mettent à la photo d'une réforme conservatrice.

David, on a fait un écho de l'une des nouvelles de la semaine : les joies pour le corps que quelques juges se donnent en accompte de mettre en rapport le lard à la vitesse. Dans son blog il y a un article du plus complet sur la saynète montée par Monsieur Velasco.

Leolo pose la question de porqué les marchés financiers n'attaquent pas à quelques pays hyperendettés et il arrive à la conclusion de ce qu'un chien ne mange pas de chien (bon, Javier Burón le dit autrement plus adroite, avec analyse et données).

En accompte du contrat il sonde que la patronale a essayés de nous mettre, Antonio considère que déjà seulement nous manquons du droit de coup de pied. C'est ce qu'a celui que dans cet État il continue d'existe l'une patronale du XIXe siècle et de baisser, dont la considération des droits des travailleurs est restée faite le portrait. Des jours plus tard, Ceronegativo a agrandi le droit de coup de pied de la CEOE de marquer les travailleurs. Exagéré ?. Vous ayez confiance en Díaz Ferrán et ne courez pas …

Inés nous compte l'indignation que nous avons senti plusieurs quand nous avons lu quand le Cour suprême a admis à une formalité le personación de l'imputé comme Courroie contre le Jeune garçon et il le met en rapport aux postes de l'administration qu'Aguirre, si généreuse elle, met à la disposition de plus d'ultra. Des rois elle se déclare aussi nuie et offensée par le même sujet dont les racines, ils se rappellent, ils plongent ses racines dans le parlement madrilène, avec trois députés imputés en votant à un choeur avec ceux du PP.

En suivant avec une justice plus pareille à une saynète, Viul nous met une photo d'un Fabra à un costume de raies. Dans ce pays du conte à l'envers, Marina Albiol a été dénoncée par le personnage illustre de moeurs de Castellón. Les moineaux lancent les chasseurs. Hugo fait aussi une campagne d'appui à la députée. (si leur ne fonctionne pas le lien, accusez à l'assemblée le trócola).

Un autre notre correspondant, celui-ci dans Kabila, envoie un course à ceux qui nous disent que la Cuba fracture la gauche et il les oublie inclure entre les forceps de la séparation, ces éléments de la politique nationale qui supposent plus de barrières que le défaut du San Francisco entre IU et le parti socialiste espagnol.

Iñaki se fait un écho du débat initié au parlement catalan sur l'initiative législative populaire pour éliminer suis-les de braus. Beaucoup d'envie me me donne ne pas être le catalan dans ces moments par le respect montré par le Parlement pour débattre d'une initiative populaire. Dans les communautés gouvernées par le PP, tandis que l'éducation et la santé commencent à avoir à être considérées comme politiques en voie d'une extinction comme il nous rappelle les Fenêtres du Faucon, se déclare aux taureaux Bien de l'Intérêt Culturel. Une question de priorités, je fixe.

Angels n'oublie pas de la tragédie grecque. Cela dont les images sont réduites à l'expression minima des journaux télévisés et qu'un peuple nous démontre dans une lutte par ses droits. Angels pointe à la responsabilité de Goldman Sachs dans le naufrage du pays hellène.

Et la semaine prochaine sera Fernando, un correspondant privilégié de la scie madrilène depuis la Carrière alpedreteña celui qui a à effeuiller la semaine rouge.

Des lutteuses

Lutteuses est un court de Benet Román sur la situation des femmes au Mexique.

Aujourd'hui c'est le 8 mars, et est consacré à toutes les femmes qui luttent.

P.D. Je viens de me rendre cuentaya habé d'autres Lutteuses du Mexique, mais dans des vignettes au lieu de dans des photogrammes.

Monday, March 8, 2010

Remue-moi!

Le samedi a été un grand jour pour ce blog : Quelqu'un a décidé de monter mon effort de satire sur les dernières propositions de la CEOE le contrat de semi-exclavitud pour des mineurs de 30 ans remue-moi.

La réponse a été spectaculaire et elle a pulvérisé toutes mes marques : à peu était l'entrée la plus instruite des 29 mois d'Histoire de ce blog avec ses 880 recettes publiées. Aussi samedi il s'est converti dans mon jour avec plus de visites, en reléguant au deuxième poste un jour avant du novembre 2008 où ce blog a été aussi soulevé à la couverture de remue-moi.

Les chiffres ont été incroyables : maintenant nous allons par 958 mouvements, 42 commentaires, 5000 lectures, des becs de près de 130 personnes en même temps en lisant le blog … d'autres recettes ont aussi eu son jour : “Déjà cela fait déjà 20 ans ont gagné les bons“, liée enfin mon entrée a reçu la bagatelle de 700 visites, et comme la troisième dérivée (qui dirait) l'entrée de Rafa Hortaleza “À moi n'importe pas de parler de notre “Alesia” particulière 20 ans après ”aussi près de 100. Je crois que Luis Ángel, Domi et JavierM ont aussi dû remarquer dans ses statistiques une affluence inhabituelle depuis mon blog; par un jour mes liens n'ont pas eu de valeur testimoniale d'admiration si non que des visiteurs ont apporté. En résumé “blogstar” par un jour.

Il a été amusé, entre d'autres choses par les gens qui ont voté et ont commenté l'envoi comme “erroné“, en démontrant ne pas comprendre rien, et les réponses qu'ils ont reçues.

Une idée très répétée sur remue-moi c'est peu de "qualité" des visiteurs, dans le sens où ils rentrent une seconde en fouinant et piran pour ne jamais revenir. Ce cas démontre qu'il a à pas nécessairement être ainsi. Un pourcentage important des visites ils sont arrivés à la fin de l'entrée, comme il démontre qu'ils ont suivi les liens et même, comme je dis, les liens des liens. C'est une lecture attentive et intéressée, bien que c'était pour critiquer ce que j'ai écrit (ou ce que j'ai n'eu pas écrit).

Aujourd'hui, bien que je continue de recevoir encore un volume appréciable de visites depuis méneane, nous sommes déjà dans à “une veille de rien” qu'il préconise le “jour de beaucoup”, le ressac de toute ivresse, bien qu'un gâteau hale … : qui est-ce qui pouvait avoir l'une de celles-ci tous les deux jours!

Il faut dire que la même entrée a aussi sonné à l'attention de Javier dans sa Semaine Rouge, par ce que l'on peut parler “d'un succès de critique et public.”

Marx disait dans 18 de brumario que l'Histoire se répète mais comme farce; cependant, et pour finir, s'il y a un chasseur de karma en lisant cela je lui recommande encore deux recettes que je crois qu'ils pourraient fonctionner dans remue-moi :

  • J'économise l'espagnole et
  • Une histoire d'aujourd'hui

Vous ne direz pas que je ne le mets pas facile! ;-)