Wednesday, March 17, 2010

Orlando Zapata

Eh bien, puisqu'il touche parler “du sujet” : Orlando Zapata. Comme il dit que Pierre les communistes nous avons à donner des explications de tout et de tous … ils sont concrètement venus à me les demander propres et étrangers, autre il semble que même ils se sont hâtés de me juger et de me condamner. Les choses d'avoir un blog, je suppose.

Il ne savait pas trop bien si parler du sujet, comme tu peux lire par là là-haut mon temps je l'emploie dans les choses qui me préoccupent ou ils m'amusent, et cela entre à l'intérieur, évidemment, de la deuxième catégorie. Mais bien que l'un puisse penser de beaucoup sans savoir de rien il y a des certaines limites, et mon ignorance sur la trajectoire vitale et les circonstances d'Orlando Zapata est telle qui me donne une honte écrire ce que je porte, et cela que je n'ai encore rien dit.

Dès que je fais une parenthèse pour me mettre dans un plan Zola et son J’accuse …! parce que je crois que tous ceux qui sont sortis pour condamner tout de suite la “cruelle dictature cubaine” (sic) ou pour défendre la Cuba à une cape et à un matador il fait ce qu'il fait ils l'ont fait depuis les apriorismes précédents au cas, et c'est pourquoi sans la rigueur la plus minimale, comme bien le dit Javi Mesonero. Et oui, je m'accuse à moi aussi parce que je vais parler aussi sans avoir il ni conçoit, bien que j'attende qu'avec un peu plus d'humilité que le bas.

Dans une chose je me rencontre avec le reste de ceux qui excitent ce “cas moderne Dreyfus” et il consiste en ce que mon opinion sur la Cuba, son peuple et sa révolution n'a pas changé : un tome prêtées les mots du camarade J. G Seigle : “ma solidarité et compromis avec la Cuba et sa Révolution (qu'en trop qui n'est pas parfait) est totale”

Un autre sujet est l'agenda : parce que le groupe a-t-il à me dicter l'agenda mediático d'un tour ? Les moyens que d'autre part un très clair biais a. Si chaque fois qu'en Palestine mourait quelqu'un dans une prison, une incursion, un assassinat "sélectif", un contrôle de routes, des adieux de célibataire de colons, piétiné par un buldozer dans ton oliveraie ou n'importe lequel des milliers des circonstances qui peuvent (involontairement) te porter à la tombe à la Terre Sainte ne fallait jamais lui consacrer (au moins) trois jours les couvertures on informerait de l'autre chose.

Mais le malheur de plusieurs me ne console pas. Comme le dit Hugo (plus ou moins) si l'un cela en faveur de quelque chose, il l'est partout, pour tous ou pour aucun, et que, pour la gauche “les erreurs qui sont commises en Cuba font mal comme propres, parce que la faiblesse de tout socialisme est propre faiblesse”, les mots que je souscris aussi.

La mort d'Orlando Zapata m'a peiné. Il m'a fait mal comme être humain, bien qu'il ne le connût pas. Je crois que j'ai seulement désiré la mort à Pinochet et à Framboisier, et quand n'est pas non plus mort le premier j'ai pu être content beaucoup que nous disons, mais la mort d'Orlando Zapata est très spéciale : c'était une mort cherchée. S'il y a dans quelque chose une unanimité à une gauche et à une droite dans ce sujet il est dans que s'établit un degré (une variable) de responsabilité au gouvernement cubain pour “laisse mourir” Orlando Zapata. Je diverge ici, je crois que comme avec le suicide ou avec la mort digne l'État (tout État) n'est pas qui pour prendre une décision semblable au lieu de plus grand quelqu'un d'un âge et avec de pleines facultés mentales. S'il est vrai qu'Orlando Zapata cherchait la mort (85 jours dans une grève de la faim ne sont pas aucune une lanterne précisément) et croyait qu'ainsi il luttait pour ses idées, puisque je ne me vois pas sincèrement avec une autorité morale pour le lui interdire. Oui le, pour essayer de convaincre ou lui, pour essayer de donner une sortie, il daigne, mais non pour le nourrir de force (la chose qui est considérée torture comme celui à qui on demande, certes).

Sur le sujet de parce qu'était Orlando Zapata dans la prison j'ai plus de questions que des réponses. Je n'ai pas vu à personne desmotar d'une forme sérieuse le jugement qui l'a condamné, dès que je peux supposer qu'il fût effectivement dans la prison pour violer la législation en vigueur en Cuba, et à aucun état souverain on lui peut être demandé qu'il n'accomplisse pas ses lois, alors il ne serait pas déjà démocratique. Si les lois sont justes puisque je n'ai pas d'éléments de jugement.

Enfin, je n'ai beaucoup plus qu'aborder sur le sujet, recommander de lire seulement une vision du sujet depuis la propre île (le Patin : un mort utile ?) et comme je m'ai passé toute l'entrée tomandas des mots prêtés des autres, puisque je vais finir ainsi, consacré pour ceux qui sont sincèrement dits des gauches et cherchent l'ennemi dans une cuve :

Yes I know my enemies
They laboure the teachers who taught me to fight me
Compromise, conformity, assimulation, submission
Ignorance, hypocrisy, brutality, the une élite
All of which laboure American dreams

Rage Against The Machine – Know Your Enemy

et aucun n'est cubain.

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