Sunday, March 14, 2010

Des propositions contre la Crise

Le Conseil Scientifique d'ATTAC estime que 1.400 personnes contrôlent et gèrent actuellement en Espagne un capital équivalent à 80 % de son PIB.

Avec un objectif démocratique toute sortie sociale de la crise doit prioritairement écouter les intérêts du reste de population, non des plus riches.

Avec un objectif de justice sociale, les travailleurs, les petits entrepreneurs et les autonomes, les jeunes hommes, les femmes, les pensionnaires et les immigrants ont déjà approché l'épaule. Il touche maintenant le compromis des puissants.

Avec un objectif de rigueur technique on peut seulement avancer la sortie de la crise si elle est considérée comme une crise de demande. C'est pourquoi, il faut élever la consommation privée, la dépense et l'inversion publique.

L'un a à écouter dire parfois qu'IU n'a pas de propositions. Peut-être hauts idéaux, ou de bonnes idées, mais non des propositions. Aussi que nous nous définissons toujours “à elle contre” : toujours "Non". “Non à cela”, “non à cela” ou “non à lui de plus loin”, mais que nous n'avons pas d'alternative et que s'il nous "touchait" (sic) gouverner “à voir que nous faisions”.

Dans une politique, cela équivaut à qu'ils donnent le prix à “Miss. Une sympathie” dans un concours de beauté.

Cette image n'est pas casuelle ni plusieurs moins innocent (comme les autres), et bien que ce soit aussi en partie notre responsabilité.

Il ne faut pas oublier que depuis que “ils ont gagné les bons” défendre l'obtenu dans 150 ans précédents de luttes ouvrières a eu envie trop difficile comme pour pouvoir se consacrer à ce qu'il reste à obtenir, mais là elles sont, les tentatives d'avancer, comme les 35 heures par exemple.

Cette image est "fabriquée" d'une forme très préméditée par ceux qui ne sont pas intéressés dans qu'un pardessus s'a dans toute celle que l'expérience vaste et riche de gouvernement d'IU dans l'enceinte municipale mais principalement son modèle, basé dans à l'alternative (politique, économique, écologique et sociale) et non dans l'alternance simple même - perro-distinto-collar.

Maintenant le sujet brise, celui qui marque l'agenda (à presque tout le monde) est la Crise. Et en face de la Crise le gouvernement a appelé aux groupes distincts politiques de présenter des propositions. Les siennes nous les connaissons déjà : ils passent parce que les travailleurs paient la crise. Le PP n'est pas défini. Il ne présente pas il ne peut pas ne présenter d'alternative, puisqu'il ne peut pas confirmer ce que presque tout le monde sait : que les propositions du PP et du parti socialiste espagnol sont les mêmes avec de petites nuances “sociales” (si ceux qui achètent une dette consentent) ou ultralibéraux sans complexes.

Convoquée à cette réunion IU il va porter 100 propositions concrètes, qui suivent la philosophie des trois paragraphes qui sont en tête de cette entrée. Une sortie la crise par la gauche avec plus de droits pour les travailleurs (une pensions, ETTs), une banque publique, une rationalisation de la dépense publique, une réforme fiscale (progressive!), une politique industrielle, une réforme patronale …

Si le gouvernement veut sortir de la crise par la gauche, et d'un pas sortir de sa désorientation évidente voilà une base solide et une épaule pour approcher. S'il veut seulement gagner un temps pour voir s'il cesse de pleuvoir, ou lever un rideau de fumée tandis qu'il prépare l'attaque suivante aux droits des travailleurs, alors n'aura pas en face : dans la rue et dans un parlement.

Je documente : 100 propositions d'IU

Ils parlent aussi du sujet : Àngels, Basseta, Luis Ángel ou Kabila.

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